Culture Avril

Une musique

Vance Joy. James Keogh, plus connu sous le nom de scène de Vance Joy, est un auteur-compositeur-interprète australien. Il est principalement connu pour sa chanson Riptide (2013). Il a sorti depuis 2 autres albums en 2014 et 2018 où il mélange musique pop et folk avec sa voix caractéristique, reconnaissable immédiatement

Un film

Un jour sans fin. Phil Connors, journaliste à la télévision et responsable de la météo part faire son reportage annuel dans la bourgade de Punxsutawney où l’on fête le « Groundhog Day » : « Jour de la marmotte ». Dans l’impossibilité de rentrer chez lui ensuite à Pittsburgh pour cause d’intempéries il se voit forcé de passer une nuit de plus dans cette ville perdue. Réveillé très tôt le lendemain il constate que tout se produit exactement comme la veille et réalise qu’il est condamné à revivre indéfiniment la même journée, celle du 2 février…
Bill Murray et Andie McDowell touchants pour un film qui explore avec humour les possibilités si on revivait le même jour tous les jours…

Une série

The good place. Après avoir été percutée et tuée par un semi-remorque, Eleanor se réveille dans ce qui semble être la vie après la mort. Lorsque Michael, l’Architecte des lieux, lui apprend qu’elle est au « Bon endroit » compte tenu ses bonnes actions, elle réalise qu’elle a été confondue avec quelqu’un d’autre. L’arrivée d’Eleanor pourrait bien mettre en péril l’équilibre de ce monde où personne ne jure ou ne boit de l’alcool à outrance. La jeune femme va devoir travailler sur elle-même afin de devenir une meilleure personne si elle souhaite conserver sa place dans l’au-delà. Bien entendu, elle sera épaulée par de nouvelles connaissances à l’instar de Chidi, son « âme soeur » qui voit toujours le bon côté des gens, ses voisins un peu trop parfaits Tahani et Jianyu, et enfin Janet, véritable source de savoir ambulante…
Une série qui explore la dualité bien/mal, l’éthique et la vie après la mort à travers la philosophie, sans avoir l’air de le faire sérieusement

Un livre

Deux livres ce mois-ci pour explorer les états-unis du XIXe siècle. (Source : Babelio)
La famille Winter (Clifford Jackman). Aux pires heures de la guerre de Sécession , une poignée de soldats se reconvertissent en une sinistre fratrie: la Famille Winter. Il y a Quentin le psychopathe, les frères Empire qui rivalisent de cruauté et de bêtises, Fred, l’esclave qui a repris sa liberté à coups de hache et, à leur tête, l’insondable Augustus Winter, dont le regard d’ambre glace le sang.
Parcourant le territoire sauvage des États-Unis du XIX ième siècle , de la campagne livrée au pillage aux rues de Chicago gangrenées parla corruption, les mercenaires de Winter tantôt défendent les avancées de la civilisation et tantôt s’opposant farouchement, laissant dans leur sillage plus de morts que de vifs.
Épopée nihiliste à cheval entre le western et le roman noir, cavalcade brillante comme le canon d’un fusil, La Famille Winter vous précipite dans les zones obscures de la nature humaine pour affronter ses contradictions et contempler toutes ses violences.

Les frères Sister (Patrick DeWitt)Oregon, 1851. Eli et Charlie Sisters, redoutable tandem de tueurs professionnels aux tempéraments radicalement opposés mais d’égale (et sinistre) réputation, chevauchent vers Sacramento, Californie, dans le but de mettre fin, sur ordre du « Commodore », leur employeur, aux jours d’un chercheur d’or du nom de Hermann Kermit Warm.
Tandis que Charlie galope sans états d’âme – mais non sans eau-de-vie – vers le crime, Eli ne cesse de s’interroger sur les inconvénients de la fraternité et sur la pertinence de la funeste activité à laquelle lui et Charlie s’adonnent au fil de rencontres aussi insolites que belliqueuses avec toutes sortes d’individus patibulaires et de visionnaires qui hantent l’Amérique de la Ruée vers l’or.
Dans ce roman jubilatoire où l’humour noir le dispute à une subtile excentricité, Patrick deWitt rend un hommage décalé aux classiques du western tout en invitant le lecteur à en explorer les ténèbres, sous l’inoubliable houlette de deux frères moins liés par le sang et la violence que par l’indéfectible amour qu’en silence ils se portent.

Un jeu

Pandémie(2013 – Tric-trac). Je ne résiste pas à l’envie, malgré l’actualité, de vous présenter ce jeu collaboratif où les joueurs jouent ensemble contre le jeu.
Vous et votre compagnie êtes des membres très qualifiés d’équipes de luttes contre les maladies menant une bataille contre quatre maladies mortelles. Votre équipe va parcourir le monde afin d’enrayer la vague d’infections et de développer les ressources dont vous aurez besoin pour découvrir les remèdes. Vous devez travailler ensemble, utiliser vos forces individuelles pour éradiquer les maladies avant qu’elles ne dépassent le monde. Le temps presse alors que les foyers d’infection accélèrent la propagation de la peste. Allez-vous trouver les remèdes à temps ?
Ici, les joueurs représentent des scientifiques aux rôles bien spécifiques qui vont tenter de lutter contre quatre maladies en train de se développer aux quatre coins du monde, les virus jaune, bleu, noir et rouge.
Le jeu se décline maintenant en plusieurs versions dont une se joue sur un an, une fois par mois où la partie mensuelle repart d’une situation qui dépend de votre résultat le mois précédent…